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L’expérience Sportchief

Qui sommes-nous?

Fondée en 1946, Sportchief est une marque canadienne mondialement connue. Elle propose une multitude de produits de qualité pour des conditions extrêmes.

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Vivre de la chasse : la passion de Dan Lavoie

Guide, chasseur et formateur : dans le domaine de la chasse à l’orignal, Dan Lavoie revêt de multiples chapeaux. C’est sans hésitation qu’il affirme que Sportchief à ses côtés depuis les tous débuts de sa passion, il y a 27 ans.

« Ça fait depuis que je suis chasseur et que je peux m’acheter des vêtements et accessoires que je connais Sportchief. J’étais le genre de gars qui se ramassait des petits sous toutes les semaines, et trois semaines avant la chasse, j’allais faire des emplettes, parfois en cachette! » raconte Dan Lavoie en riant. « Je suis de ceux qui aiment s’habiller avec du beau linge de chasse, mais surtout du bon linge de chasse. »

Pour Dan Lavoie, l’expertise de Sportchief réside en grande partie sur l’équipe de passionnés qui compose l’entreprise : « Sportchief c’est fait par des chasseurs, pour des chasseurs. L’équipe nous écoute énormément. Pendant une chasse avec Jean-François Brouillette [le directeur de la bannière Sportchief], je lui ai apporté quelques idées et ça a été mis à l'œuvre dès cette année. »

 

Des vêtements d’exception


Guide de chasse depuis 10 ans, Dan Lavoie explique avoir eu l’occasion d’essayer un éventail de produits Sportchief. Année après année, ceux-ci sont toujours gage de satisfaction. « En devenant guide de chasse, je suis devenu équipé à 100, 200, 300% de produits de Sportchief, et j’en suis plus que satisfait. »

Le vêtement qu’il recommande à coup sûr? L’ensemble de camouflage silencieux de son bon ami, Jason Tremblay Morneau. « C’est de loin ce que j’ai vu de meilleur pour ce que je pratique, la chasse à l’orignal, de très proche, affirme Dan Lavoie. Dans toutes mes formations, sans exception, quand je parle des accessoires de chasse, je parle toujours, toujours des vêtements silencieux de Sportchief. Depuis le 4 mai, je donne des formations presque chaque weekend, et je parle toujours de vêtements de chasse, surtout quand j’enseigne la chasse à proximité, parce que c’est primordial. Je porte aussi ces vêtements dans les vidéos que je présente en formation, et les gens me posent beaucoup de questions par rapport à ça, ils me contactent souvent après pour savoir de quels vêtements je parlais. Je ne peux pas imaginer vouloir acheter quelque chose d’autre. »

Dan Lavoie se souvient également d’un moment où il a pu démontrer, en direct, les avantages de l’ensemble de pluie Poséidon G3 : « J’étais avec un client pour aller faire une évaluation sur un territoire, il y avait une pluie intense, je pense qu’il est tombé 45 mm… le client voulait remettre, mais je ne pouvais pas le revoir avant 2023 parce que mon horaire était complet, donc j’y suis allé quand même, avec mon ensemble Poséidon G3. Le client était tellement impressionné qu’il m’a réécrit pour savoir quelle était la marque de mes vêtements! »

Une expertise étendue

Les analyses de terrain ne sont qu’une partie de l’expertise de Dan Lavoie, qui se spécialise non seulement en guidage de chasse à l’orignal, mais aussi dans l’analyse de territoires cartographiques et la formation aux chasseurs. Sa passion a finalement conduit Dan Lavoie à mettre sur pied sa propre compagnie, Dan Lavoie Guide. Depuis 2022, il est donc 100 % travailleur autonome. « Maintenant, je ne vis que de chasse! » s’exclame-t-il.

Le conseil que Dan Lavoie donne systématiquement aux passionnés qui le suivent, c’est de revenir à la base : « La chasse c’est une question de plaisir », souligne-t-il. Il faut pratiquer ça en famille, et surtout, ne pas négliger la famille pour ça! Il rappelle que le respect du gibier doit être primordial : « Beaucoup de gens sont téméraires et ne pratiquent pas avant de tirer. Si tu tires et que tu n’es pas certain, appelle les chiens de sang, par respect pour le gibier. »  Il ajoute que l’éthique du chasseur implique le respect de ses confrères et consœurs : « Tout le monde a le droit de vivre sa passion. »

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Chasser l’orignal avec Daniel Gilbert : « Une histoire de famille »

Des histoires de chasse, Daniel Gilbert n’en manque pas. Héritier d’une passion transmise par son père, il raconte ses débuts dans le monde de la chasse et ce qu’un nom comme Sportchief représente pour lui.

« Ma passion pour la chasse a commencé tout jeune, parce que mon père était un passionné de chasse et pêche, explique Daniel Gilbert. Je me rappelle très bien mon père qui nous racontait ses histoires de chasse et pêche avec enthousiasme, mais surtout avec passion. Je trouvais ça mystérieux. On avait un petit chalet de chasse et pêche, et c’est à partir de ce moment-là que j’ai eu la piqûre. Ça a commencé très tôt dans mon adolescence. »


« Plus de 20 ans de partenariat avec Sportchief Canada, ça veut dire qu’on a pu tester les produits à leur maximum et dans toutes les situations imaginables, qu’on soit à la Chasse ou à la Pêche, ce ne sera ni la pluie ni la neige qui vous empêchera de profiter de vos excursions au maximum. »

Daniel Gilbert se souvient encore du moment où il a assisté à une première récolte d’orignal : « J’étais avec mon frère. Ce n’était pas moi qui avait tiré, mais j’étais tellement fier. On est revenus à la maison et mon père nous attendait à l’extérieur. Quand il a vu le mâle… c’est un souvenir inoubliable. » C’est à cette occasion qu’il s’est pris d’intérêt pour ce gibier, qui l’allume encore même plus de 40 ans plus tard : « Chaque automne, j’ai encore cette même passion-là qui vient me ronger pour aller faire un tour à la chasse. »

Il ajoute : « Toutes ces petites anecdotes là, autant quand j’allais à la pêche qu’à la chasse, avec mon père, mon frère, mon cousin, font que c’est une histoire de famille. »

La passion des tournages de chasse

La passion de la chasse a entraîné un nouveau passe-temps pour Daniel Gilbert : le tournage de films de chasse. Lorsqu’il a commencé ses tournages, il y a 30 ans, la caméra VHS était encore à l’honneur. Ça ne l’a pas empêché de se lancer, lui qui souhaitait avant tout partager sa passion avec d’autres amateurs : « C’était mauvais, mais j’avais le goût d’échanger avec des passionnés. C’est à partir de ce moment-là que ma passion a grandi. J’en ai fait mon métier depuis près de 20 ans et j’en suis vraiment fier. »

Évidemment, depuis le temps, les technologies ont beaucoup évolué, ce qui facilite les tournages : « Quand j’ai débuté dans le métier, il y avait des caméras qui pesaient 25 livres. Maintenant, les caméras sont ultra performantes, très professionnelles, et pèsent à peine 3 ou 4 lb. On utilise l’équipement le plus silencieux possible, c’est primordial, c’est ce qui est le plus important de notre côté. Habituellement, les gens chassent seuls ou à deux, mais pendant un tournage, on est toujours 3 à 4 personnes, donc ça fait beaucoup de monde. »

L’expertise de Sportchief, un atout non négligeable

Pour aider à garder le silence pendant les tournages, rien de tel que l’habit silencieux issu de la collaboration entre Sportchief et Jason Tremblay Morneau, qui est guide de chasse dans les tournages organisés par Daniel Gilbert. Ce dernier raconte que les ensembles silencieux de Sportchief ont la cote parmi les guides, qui n’hésitent pas à en amener plusieurs afin de faire changer les participants au tournage, au besoin : « Ces dernières années, je travaille beaucoup avec les guides, parce que je suis autant derrière la caméra que devant. Quand je suis derrière la caméra, je vois les guides qui travaillent extrêmement fort, et ils veulent que les gens aient les produits Sportchief pour le côté silencieux, car c’est hyper important pour nous. Ça arrive tout le temps qu’on approche un orignal et qu’on se dise “Je suis chanceux d’avoir mon habit silencieux.” Une chance qu’on a ça, parce que ça aide énormément. »

Pour Daniel Gilbert, le succès des produits Sportchief repose sur les capacités d’écoute de l’entreprise, qui n’hésite pas à demander l’opinion des passionnés : « Sportchief écoute vraiment les amateurs et leurs besoins. Lorsqu’ils mettent un produit sur le marché, ils nous donnent des échantillons pour qu’on l’évalue, et je pense que ça donne des produits vraiment sur la coche. »

Sportchief, un partenaire de longue date

Daniel Gilbert n’en est pas à sa première association avec Sportchief. Il a remarqué la compagnie dès ses débuts en tant que chasseur. « Je me rappelle de mon premier ensemble Sportchief. Je débutais, en 1993, et Sportchief avaient fait un modèle spécialement pour les archers. Quand tu es un archer, c’est important que la corde ne frappe pas ton bras, donc l’habit avait des attaches, [pensées] pour ne pas faire dévier ta flèche. Sportchief étaient les seuls qui avaient pensé à ça. Je suis tombé en amour. »

Éventuellement, Sportchief est devenu commanditaire pour les tournages orchestrés par Daniel Gilbert, un lien qui s’est éventuellement approfondi pour laisser place à une amitié qui dure depuis plusieurs années.

« J’ai toujours été avec Sportchief, et ce sont maintenant des amis. C’est important, parce que quelqu’un qui fabriquerait ça sans avoir de personnes sur le terrain, ça ne fonctionnerait pas. Sportchief prennent vraiment l’avis des amateurs qui sont sur le plancher des vaches, ou plutôt le plancher des chevreuils et des orignaux », ajoute-t-il en riant.

Daniel Gilbert rappelle que Sportchief représente plusieurs dizaines d’années d’expertise : « J’ai 58 ans, et quand on parle des années 80, Sportchief était là. Quand tu portes un produit Sportchief, tu as tellement d’expérience, de gens compétents qui sont derrière ce produit, des gens qui sont à l’écoute. Ce sont des produits de qualité, mais qui sont abordables. Le Québec et Sportchief, on en parle tellement, c’est une histoire d’amour qui dure depuis des décennies. »

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Valérie Gauthier, première femme ambassadrice

Nous sommes heureux d'accueillir dans la famille d'ambassadeurs Sportchief la dynamique Valérie Gauthier, première femme du clan! Passionnée par la pêche et la chasse, elle se décrit comme une personne honnête, très positive et ambitieuse. "Je suis toujours prête pour les nouveaux défis ou projets. Ça me garde vivante.", dit-elle le sourire aux lèvres. 

 

 

La chasse aux souvenirs mémorables

Son plus vieux souvenir en lien avec l'orignal remonte à son enfance tandis que son père allait chasser uniquement avec ses amis. Sa mère, passionnée et ratoureuse callait du deuxième étage l'orignal juste pour entendre leurs vocalises! Une fois avec son chéri, c'est là que Valérie a véritablement été initiée. "Au début, je ne faisais que passer du temps en nature et j'aimais ça. Je lisais pas mal dans les revues de chasse et pêche pour apprendre les techniques. Ma première récolte d'orignal remonte à 1999. J'avais fait du rattling et ensuite, j'ai entendu l'animal sortir du bois. Le cœur me battait dans la poitrine, c'était un moment d'adrénaline tellement fort que ça a déclenché ma passion pour la chasse. Ensuite, j'ai suivi mes cours d'armes à feu." Au fil des ans, toute la famille a été initiée soient les enfants du couple et maintenant les petites-filles Éléa et Charlotte sont la relève. 

Du côté de la pêche, son moment fort a été lors d'une sortie sur le Lac Abitibi avec son conjoint et des amis et où elle a attrapé un de ses plus gros dorés, une bête de 30 pouces. 



Une fière ambassadrice
Si elle est avec son beau chasseur et pêcheur depuis 30 ans, son histoire d'amour avec Sportchief remonte environ à une décennie. C'est sa belle-mère qui lui a offert un cadeau qui allait changer le cours de sa trajectoire. "Avant, j'allais à la chasse et la pêche dans des vêtements choisis aléatoirement. Avec cet ensemble Sportchief j'ai réalisé l'importance d'être bien habillée. Non seulement je me trouvais belle dans mon manteau et mon pantalon, mais en plus j'étais confortable et au chaud. Depuis, je sélectionne le vêtement adapté à la bonne activité que je pratique ", explique-t-elle. 

Des rêves plein la tête
Quand on questionne Valérie Gauthier sur son plus grand rêve, elle n'hésite pas une seconde avant de répondre qu'elle souhaite vivre ses passions jusqu'à au moins 90 ans! D'ici là, elle souffle chaque année ses bougies espérant avoir une plus grosse histoire de pêche ou de chasse à raconter que la saison précédente. Belle intense et passionnée, elle ne s'arrête pas à un seul souhait toutefois. " J'aimerais développer des vêtements pour les femmes et avoir mon édition comme Jason Morneau. Je lance ça dans l'univers! ", conclut-elle en rigolant. 



Pour la suivre dans ses aventures Sportchief, cliquez ici

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Mario Huot, chasseur nomade

Si la plupart des chasseurs québécois ont pour habitude, l’automne venu, de s’isoler pendant quelques semaines le temps de la chasse, Mario Huot, lui, fonctionne à un tout autre rythme. En effet, depuis 21 ans, le propriétaire d’Aventure Express parcourt le globe pour chasser à travers le monde. Son endroit de prédilection? L’Afrique.

« Je me décrirais comme un chasseur nomade, un chasseur exotique, résume Mario Huot. J’ai guidé pendant 19 ans l’orignal, et j’avais envie de changement, c’est là que j’ai parti Aventure Express, une agence qui organise des forfaits de chasse pour des amateurs de partout dans le monde. »

Sa passion a poussé Mario Huot à devenir propriétaire d’une pourvoirie en Afrique du Sud, où il pratique la chasse plusieurs fois par an : « Je chasse à travers le monde, mais l’Afrique c’est mon dada. Il y a 42 espèces là-bas, donc beaucoup de diversité comparé à ce qu’on a ici. Je me spécialise dans le plain game, soit tout ce qu’il y a en quantité industrielle : le kudoo, l’antilope, le phacochère, etc. »


Mario Huot est un passionné de plein air et de chasse sportive depuis plus de 35 ans. C'est un chasseur de calibre international. 

Mario Huot raconte avoir longtemps rêvé de l’Afrique : « Ma première chasse en Afrique, c’était un rêve d’enfant. La première fois que j’ai voulu y aller, mes parents me disaient que je devais apprendre l’anglais, le français, les maths… ma mère n’avait pas tord! J’ai été à l’université en comptabilité marketing, et à partir du moment où tu sais compter et parler en anglais, tu n’as plus de limites sur la terre, donc mon rêve s’est réalisé! À l’époque, c’était extrêment cher. Dès que j’ai ramassé mes sous, je me suis retrouvé en Afrique et ça a été la piqûre. »

Les vêtements de chasse, une priorité qui ne se démode pas

Évidemment, le climat et les particularités territoriales de l’Afrique signifient de nouveaux défis à relever pour les chasseurs. « Il n’y a pas beaucoup de possibilités de camouflage en Afrique, rappelle Mario Huot. Dans la savane et la brousse, ce qu’on voit, ce sont de petits bosquets de 3 pieds de haut. Le camouflage est plus difficile, on doit développer de nouvelles stratégies. » Le chasseur est sans équivoque : les vêtements doivent être la priorité des chasseurs, peu importe l’endroit où ils pratiquent leur sport : « Avoir le bon vêtement, au bon moment, pour se protéger des odeurs, c’est la clé du succès. Parce que quand tu n’es pas confortable dans ce que tu portes, tu souffres, tu as chaud, tu suffoques. Et quand tu es parti, tu ne peux plus revenir et changer de vêtement! »

Ainsi, de l’Afrique à Terre-Neuve en passant par les montagnes de la Colombie-Britannique, Mario Huot est toujours parfaitement équipé, notamment grâce au manteau Windshield de Sportchief qui a gagné sa confiance en raison de sa versatilité : « Le manteau de chasse Windshield, c’est un coupe-vent hydrofuge qui est un beau passe-partout! » Il explique privilégier la couleur X-Unity Light, parfaite pour les nombreux endroits où il chasse. « Si tu vas en Afrique, à Terre-Neuve, dans les rocheuses en Colombie-Britannique, les couleurs sont parfaites. Si tu veux être sûr de ne pas manquer ton coup, c’est le produit idéal. »

Pour la chasse en Amérique du Nord, le chasseur recommande chaudement l’ensemble de camouflage imperméable Predator : « C’est le suit que j’ai sur le dos pratiquement à temps plein en Amérique du Nord. Il fait la job à 100%! »

Un conseil à ne pas oublier

Aux chasseurs d’orignaux qui vivront bientôt leurs premières semaines de chasse annuelle, Mario Huot rappelle une chose : « L’orignal a deux sens très aiguisés, l’ouïe et l’odorat. Quand on le call on le fait venir à nous, mais il a besoin de se garantir que c’est vrai, ce qu’il vient d’entendre. C’est là que les urines entrent en ligne de compte, parce qu’il a besoin de son odorat pour se confirmer que tout est exact. »

En effet, même s’il a sa pourvoirie en Afrique, Mario Huot passe tout de même une bonne partie de l’année à chasser au Québec et ailleurs au Canada : « Mes chasses un peu exotiques se font toutes en janvier, février, mars et avril. Après, j’arrive au Québec à temps pour la chasse au dindon, ensuite la chasse à l’ours… à la mi-juin, je prends quelques vacances, et après, on clanche pour l’orignal et le wapiti : Terre-Neuve, Québec, Ontario, Saskatchewan et Colombie-Britannique. »

Besoin d’un habit de chasse?

Tous les vêtements mentionnés par Mario Huot sont disponibles sur la boutique en ligne de Sportchief. Magasinez votre ensemble dès maintenant et découvrez la qualité Sportchief, passionnés de chasse depuis 1946!

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Sportchief X Jason Tremblay Morneau : la chasse à l’orignal en vedette

Bien connu dans le milieu de la chasse au Québec, Jason Tremblay Morneau met à profit ses 23 ans d’expérience en tant que chasseur et inaugure une toute nouvelle collection en collaboration avec Sportchief. Totalement silencieuse, la collection Jason Tremblay Morneau a été conçue avec une chose en tête : la chasse à l’orignal.

« La chose la plus importante pour moi, c’était un ensemble de couleur noire! » indique Jason Tremblay Morneau. « Il n’y en avait pas sur le marché, donc ça prenait absolument ça : un ensemble noir qui ne fait pas de bruit, avec beaucoup de poches pour mettre tout notre [équipement] », ajoute-t-il.

Pour Jason Tremblay Morneau, l’habillement est à la base de toute bonne chasse : « Avant même de mettre le pied dans le bois, il faut que les gens soient bien habillés. Déjà, là, ils augmentent leurs chances [de récolter]. C’est pour ça qu’on a développé des ensembles avec Sportchief. »



Le noir, un choix évident

Si le choix d’un ensemble noir peut sembler contre-intuitif, Jason Tremblay Morneau explique que cette décision correspond en fait parfaitement aux besoin de la chasse à l’orginal : « Dans toutes les autres chasses, tu veux être camouflé, mais pour l’orignal, c’est autre chose. Sa vue n’est pas bonne, donc si tu restes debout, de face, et que tu ne fais pas de mouvement rapide, il va penser que tu es un autre orignal, tandis que si tu restes caché, il ne te verra pas et ne sortira pas. » Jason Tremblay Morneau mentionne toutefois qu’un habit noir nécessite de modifier une vieille habitude : « Beaucoup de chasseurs ont le réflexe de se mettre à genoux pour tirer, mais si tu te mets à genoux avec un habit noir, aux yeux de l’orignal, tu es une boule noire qui a l’air d’un ours. »

Le chasseur souligne que les amateurs de chasse à l’orignal doivent désormais composer avec la méfiance accrue des animaux, ce qui ajoute à la nécessité d’avoir des vêtements silencieux, l’une des caractéristiques principales de sa collection : « Un orignal qui se fait appeler, mais qui entend un bruissement de vêtement tout de suite après, il ne viendra pas, soutient Jason Tremblay Morneau. Les orignaux ont compris qu’un call, plus souvent qu’autrement, c’est un humain et non une femelle. » Il explique que, si on veut déjouer l’animal, il est maintenant nécessaire de l’attirer à l’aide de deux de ses sens : « C’est une bonne idée de laisser des urines d’orignaux dans le coin où on appelle, mais de plus en plus, on call le moins possible. On va plutôt privilégier d’autres sons comme des renâclements ou des bruits dans l’eau. Faire semblant d’uriner aide aussi. Tout ce qu’on a besoin de faire avant de caller, ce sont des choses vraiment importantes qui rendent le tout plus facile. »


« Je suis un passionné de chasse depuis plus de 15 ans et je me spécialise dans la chasse à l’orignal. J’ai fait du plus beau sport au monde mon travail en guidant, formant et divertissant les chasseurs du Québec. »


Jason Tremblay Morneau se souvient d’une journée de septembre 2015 où il a pu constater à quel point l’odorat est primordial pour l’orignal : « Je suis allé faire une pratique dans le bois pour essayer d’apprendre des sons. Tous les ans, je fais ça : j’essaye de caller les orignaux et je regarde quel son fonctionne, etc. Après un certain temps, j’ai vu un mâle, et je me suis mis à [essayer des sons] avec lui. Ça a duré 2 heures : il s’approchait, s’en allait… puis je suis tombé sur LE son, un genre de “U” qui tremble. Tout d’un coup, il s’est viré et il est venu à 2, 3 mètres de moi, puis il a fait un flehmen [pour sentir les phéromones]. J’ai compris que le son que je venais de faire, c’était la femelle en chaleur. De toute ma vie, je n’ai jamais vu quelqu’un réussir à faire flairer un orignal comme ça. Pour qu’il vérifie si je suis la femelle en chaleur, il était vraiment convaincu. »

« De l’or en barre. »
Lorsqu’on lui demande s’il est content du résultat de sa collaboration avec Sportchief, Jason Tremblay Morneau n’a aucune hésitation : « C’est de l’or en barre. Je n’ai rien à redire, c’est l’ensemble que je vais recommander à tout le monde. » Il rappelle toutefois que l’habit a été conçu pour la marche en forêt : « C’est un suit qui est fait pour marcher, pas pour rester assis à attendre. Quelque chose que je fais, si la température tombe à -4, -5, c’est que je mets deux suits l’un par-dessus l’autre et je suis bien toute la journée! » lance-t-il en riant, admettant qu’il a déjà trois exemplaires de son ensemble éponyme.

Les chasseuses, une clientèle importante aux yeux de Sportchief
Soucieuse d’offrir ses produits au plus grand nombre d’amateurs possible, Sportchief s’est assurée que sa collaboration avec Jason Tremblay Morneau soit également disponible pour les femmes. Les chasseuses d’orignaux pourront donc s’équiper au même titre que leurs compatriotes masculins. Un peu plus ajustée, la version féminine de la collection dispose des mêmes caractéristiques que la version masculine : couleur noire, absence de membrane et multiples poches. L’initiative s’inscrit dans la continuité des valeurs de Sportchief, qui offrent de multiples ensembles de chasse et pêche pour femmes.

La collection Jason Tremblay Morneau est disponible dès maintenant sur le site de Sportchief.

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À la pêche avec Raymond Carignan

Fort de 50 ans d’expérience, Raymond Carignan a pêché dans les endroits les plus reculés du monde. Il n’a pas peur de l’affirmer : 12 mois par année, beau temps mauvais temps, ce sont les produits Sportchief qui partent à la pêche avec lui.

« J’ai utilisé mon Sportchief partout sur la planète, même à Cape Horn, à l’extrême sud de l’Amérique du Sud, presque en Arctique. », décrit Raymond Carignan. De l’Alaska à Cape Horn, qui est un endroit très dangereux, avec des conditions extrêmes, au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Chili, même en Patagonie, où il n’a jamais fait beau! On a eu de la pluie, de la slush, de la grêle…j’ai été partout avec Sportchief et j’ai toujours été très content de mon équipement! »

« J'ai affronté les pires déluges avec mon Sportchief. J’ai fait le tour du monde avec mon Sportchief et j’ai toujours été sec et confortable. »

Il se souvient particulièrement d’un voyage de pêche au Chili, où des membres du gouvernement ainsi que des journalistes avaient accompagné le groupe de pêcheurs dont il faisait partie. « Ils venaient de San Diego et eux, ils ne sont pas habitués à ces conditions-là! Ils n’avaient jamais vu de neige de leur vie. Je les ai dépanné avec du matériel Sportchief, parce qu’ils avaient vraiment froid. Une chance qu’on était là avec des tuques, parce que je pense qu’ils seraient morts gelés! » raconte-t-il en riant.

Plus récemment, à l’occasion d’un tournage en bâteau, Raymond Carignan a pu tester l’étendue des capacités de l’ensemble de pêche Poséidon G3. « J’étais avec un caméraman, en bateau, sur le lac Saint-François, pour pêcher l’achigan. Il y a eu une alerte météo et il fallait débarquer de l’eau parce que c’était dangereux, mais on n’a pas eu le temps. C’est arrivé comme un mur d’eau! On avait tous notre habit Poséidon, l’invité, le caméraman et moi, et une chance que je l’avais! C’était venteux, pluvieux… je n’avais jamais vu ça, de l’eau tomber comme ça. Le caméraman, on l’a caché dans le bateau avec le toit, et moi je suis resté à l’extérieur pour qu’il prenne la séquence vidéo! J’étais très content d’avoir mon Poséidon! Je suis resté au sec, j’étais bien et j’ai fini ma journée! »

Même si les anecdotes qu’il raconte font état d’intempéries, Raymond Carignan rappelle que les vêtements de pêche doivent toujours être une priorité, même dans des conditions moins extrêmes : « Un voyage de pêche peut durer entre 3 et 7 jours. La priorité, c’est d’avoir de bons vêtements qui nous protègent des insectes piqueurs, du soleil, de la chaleur et du froid. Il faut aussi être bien chaussé, parce qu’on peut faire 12 à 14 heures par jour debout. »

Sportchief : un nom de prestige

C’est après avoir rencontré le propriétaire de Sportchief dans un salon sportif, il y a plus de 20 ans, que Raymond Carignan a commencé son association avec la marque. Au fil des années, il a été témoin de la fierté qui anime l’équipe de Sportchief : « C’est un nom de prestige, depuis 1946! Je vois la fierté de ceux qui travaillent dans l’entreprise. C’est un nom  synonyme d’efficacité et, évidemment, de performance. » Raymond Carignan rappelle que Sportchief est l’une des rares entreprises québécoises à offrir des vêtements et de l’équipement de chasse et pêche : « C’est une compagnie de chez nous, et il n’y en a pas beaucoup au Canada [comme Sportchief]. Je trouve ça très motivant, parce que la plupart des commanditaires sont des compagnies américaines. »

Patience et minutie

Non seulement Raymond Carignan n’est pas avare d’anecdotes, il partage volontiers ses conseils. Les amateurs de pêche peuvent donc bénéficier de ses 50 ans passées à pêcher différentes sortes de poissons.

« Premièrement, quand on trouve un secteur de pêche qui semble productif, il faut être patient et essayer différentes techniques avant de quitter le secteur, recommande-t-il. Il ne faut pas juste lancer quelques lignes et changer tout de suite… Les gros poissons sont de plus en plus éduqués, ils ne mordent pas du premier coup. » Le pêcheur conseille aussi de se laver avec un savon sans odeur avant d’aller pêcher, les poissons ayant l’odorat très sensible. Ce conseil s’applique également aux leurres : « On peut ajouter des odeurs et des goûts aux leurres. Les poissons aiment ça avec du goût, une petite garniture quelconque, c’est la même chose qu’avec les humains! Ça masque aussi les odeurs d’essence ou d’huile, etc. »

Raymond Carignan rappelle qu’un seul endroit peut être bon pour plusieurs sortes de poissons. « Si vous pêchez la truite, le saumon et la ouananiche, l’endroit peut aussi être bon pour le doré, suggère-t-il. N’oubliez pas de tenir compte de la température de l’eau! En surface ou en profondeur, il faut chercher la température la plus agréable pour le poisson. Plus le poisson est à l’aise, meilleures sont tes chances. »

Peu importe le conseil et la technique, une chose est sûre : Raymond Carignan continuera à pêcher, et ce, avec ses fidèles produits Sportchief!

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