Des histoires de chasse, Daniel Gilbert n’en manque pas. Héritier d’une passion transmise par son père, il raconte ses débuts dans le monde de la chasse et ce qu’un nom comme Sportchief représente pour lui.
« Ma passion pour la chasse a commencé tout jeune, parce que mon père était un passionné de chasse et pêche, explique Daniel Gilbert. Je me rappelle très bien mon père qui nous racontait ses histoires de chasse et pêche avec enthousiasme, mais surtout avec passion. Je trouvais ça mystérieux. On avait un petit chalet de chasse et pêche, et c’est à partir de ce moment-là que j’ai eu la piqûre. Ça a commencé très tôt dans mon adolescence. »
« Plus de 20 ans de partenariat avec Sportchief Canada, ça veut dire qu’on a pu tester les produits à leur maximum et dans toutes les situations imaginables, qu’on soit à la Chasse ou à la Pêche, ce ne sera ni la pluie ni la neige qui vous empêchera de profiter de vos excursions au maximum. »
Daniel Gilbert se souvient encore du moment où il a assisté à une première récolte d’orignal : « J’étais avec mon frère. Ce n’était pas moi qui avait tiré, mais j’étais tellement fier. On est revenus à la maison et mon père nous attendait à l’extérieur. Quand il a vu le mâle… c’est un souvenir inoubliable. » C’est à cette occasion qu’il s’est pris d’intérêt pour ce gibier, qui l’allume encore même plus de 40 ans plus tard : « Chaque automne, j’ai encore cette même passion-là qui vient me ronger pour aller faire un tour à la chasse. »
Il ajoute : « Toutes ces petites anecdotes là, autant quand j’allais à la pêche qu’à la chasse, avec mon père, mon frère, mon cousin, font que c’est une histoire de famille. »
La passion des tournages de chasse
La passion de la chasse a entraîné un nouveau passe-temps pour Daniel Gilbert : le tournage de films de chasse. Lorsqu’il a commencé ses tournages, il y a 30 ans, la caméra VHS était encore à l’honneur. Ça ne l’a pas empêché de se lancer, lui qui souhaitait avant tout partager sa passion avec d’autres amateurs : « C’était mauvais, mais j’avais le goût d’échanger avec des passionnés. C’est à partir de ce moment-là que ma passion a grandi. J’en ai fait mon métier depuis près de 20 ans et j’en suis vraiment fier. »
Évidemment, depuis le temps, les technologies ont beaucoup évolué, ce qui facilite les tournages : « Quand j’ai débuté dans le métier, il y avait des caméras qui pesaient 25 livres. Maintenant, les caméras sont ultra performantes, très professionnelles, et pèsent à peine 3 ou 4 lb. On utilise l’équipement le plus silencieux possible, c’est primordial, c’est ce qui est le plus important de notre côté. Habituellement, les gens chassent seuls ou à deux, mais pendant un tournage, on est toujours 3 à 4 personnes, donc ça fait beaucoup de monde. »
L’expertise de Sportchief, un atout non négligeable
Pour aider à garder le silence pendant les tournages, rien de tel que l’habit silencieux issu de la collaboration entre Sportchief et Jason Tremblay Morneau, qui est guide de chasse dans les tournages organisés par Daniel Gilbert. Ce dernier raconte que les ensembles silencieux de Sportchief ont la cote parmi les guides, qui n’hésitent pas à en amener plusieurs afin de faire changer les participants au tournage, au besoin : « Ces dernières années, je travaille beaucoup avec les guides, parce que je suis autant derrière la caméra que devant. Quand je suis derrière la caméra, je vois les guides qui travaillent extrêmement fort, et ils veulent que les gens aient les produits Sportchief pour le côté silencieux, car c’est hyper important pour nous. Ça arrive tout le temps qu’on approche un orignal et qu’on se dise “Je suis chanceux d’avoir mon habit silencieux.” Une chance qu’on a ça, parce que ça aide énormément. »
Pour Daniel Gilbert, le succès des produits Sportchief repose sur les capacités d’écoute de l’entreprise, qui n’hésite pas à demander l’opinion des passionnés : « Sportchief écoute vraiment les amateurs et leurs besoins. Lorsqu’ils mettent un produit sur le marché, ils nous donnent des échantillons pour qu’on l’évalue, et je pense que ça donne des produits vraiment sur la coche. »
Sportchief, un partenaire de longue date
Daniel Gilbert n’en est pas à sa première association avec Sportchief. Il a remarqué la compagnie dès ses débuts en tant que chasseur. « Je me rappelle de mon premier ensemble Sportchief. Je débutais, en 1993, et Sportchief avaient fait un modèle spécialement pour les archers. Quand tu es un archer, c’est important que la corde ne frappe pas ton bras, donc l’habit avait des attaches, [pensées] pour ne pas faire dévier ta flèche. Sportchief étaient les seuls qui avaient pensé à ça. Je suis tombé en amour. »
Éventuellement, Sportchief est devenu commanditaire pour les tournages orchestrés par Daniel Gilbert, un lien qui s’est éventuellement approfondi pour laisser place à une amitié qui dure depuis plusieurs années.
« J’ai toujours été avec Sportchief, et ce sont maintenant des amis. C’est important, parce que quelqu’un qui fabriquerait ça sans avoir de personnes sur le terrain, ça ne fonctionnerait pas. Sportchief prennent vraiment l’avis des amateurs qui sont sur le plancher des vaches, ou plutôt le plancher des chevreuils et des orignaux », ajoute-t-il en riant.
Daniel Gilbert rappelle que Sportchief représente plusieurs dizaines d’années d’expertise : « J’ai 58 ans, et quand on parle des années 80, Sportchief était là. Quand tu portes un produit Sportchief, tu as tellement d’expérience, de gens compétents qui sont derrière ce produit, des gens qui sont à l’écoute. Ce sont des produits de qualité, mais qui sont abordables. Le Québec et Sportchief, on en parle tellement, c’est une histoire d’amour qui dure depuis des décennies. »